Exness démonte le mythe selon lequel les marchés sont le moteur de l'économie réelle

Exness, courtier de confiance jouissant d'une réputation mondiale, a publié un article de blog convaincant qui remet en question une idée fausse très répandue : l'idée que les marchés financiers reflètent ou influencent directement l'économie réelle.
Dans son dernier article éducatif, Exness explique pourquoi la hausse des cours boursiers ne se traduit pas nécessairement par une amélioration du niveau de vie ou un renforcement des fondamentaux économiques.
Selon le blog, les mouvements du marché sont souvent déterminés par le sentiment des investisseurs, la spéculation et les tendances en matière de liquidités, plutôt que par les progrès économiques réels. Alors que les titres des médias financiers établissent fréquemment un lien entre la croissance des marchés boursiers et la vigueur de l'économie, M. Exness souligne que cette relation est plus psychologique que structurelle.
PIB et emploi
Par exemple, le produit intérieur brut (PIB), couramment utilisé comme indicateur de la prospérité nationale, ne reflète pas toujours la qualité de vie réelle. Le billet souligne que le PIB peut augmenter en période de guerre ou de dépenses publiques accrues sans que le citoyen moyen n'en tire des bénéfices directs. Selon Exness, cet écart prouve que le succès des marchés boursiers n'est pas à l'origine de la croissance du PIB, mais qu'il réagit simplement aux prévisions de bénéfices et aux récits spéculatifs.
La société réfute également le mythe selon lequel l'essor de Wall Street crée davantage d'emplois. Les entreprises embauchent généralement en fonction de la demande réelle, et non de la hausse du cours des actions. Dans de nombreux cas, les sociétés choisissent d'utiliser leurs bénéfices pour racheter des actions ou verser des dividendes plutôt que d'embaucher ou d'étendre leurs activités. Par ailleurs, les chiffres du chômage peuvent donner une image faussée, car ils dépendent du nombre de personnes qui recherchent activement un emploi.
Inflation, taux d'intérêt et fluctuations monétaires
L'inflation est un autre facteur essentiel. Bien que le marché boursier puisse réagir aux pressions inflationnistes, il n'en est pas la cause. Exness souligne que l'inflation découle des perturbations de la chaîne d'approvisionnement, de la politique de la banque centrale et des dépenses publiques, et non de l'activité des cours boursiers. Les marchés peuvent réagir aux données relatives à l'inflation, mais ils ne déterminent pas les prix à la consommation.
Le blog explore également les taux d'intérêt et les fluctuations des devises. La baisse des taux d'intérêt peut temporairement soutenir la hausse des cours boursiers, mais elle ne garantit pas la croissance économique. De même, la force ou la faiblesse du dollar américain n'est pas directement liée aux performances du marché.
Le marché, un miroir, pas un moteur
En conclusion, Exness souligne que les marchés financiers sont plus un miroir qu'un moteur. Ils reflètent la psychologie des investisseurs plutôt que l'économie réelle. Pour les traders, cela signifie que le véritable succès réside dans la compréhension de la liquidité, du sentiment et des attentes, et non dans le suivi aveugle des indicateurs macroéconomiques.
Notamment, lors de l'iFX EXPO Dubai 2025, Exness a été récompensé par deux prix prestigieux: "Meilleur courtier - MEA 2025" et "Courtier le plus fiable - MEA 2025".